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| Historique des Films | |
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Lust
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| Sujet: Historique des Films Sam 25 Aoû - 8:57 | |
| Ici, sont regroupés tout les films produit par chaque studio, même si certains studios n'existent plus ces films sont toutefois présent. La possibilité d'une suite, reboot, remake ou encore prequel devrait être logiquement demandés par le studio qui a crée le film que vous souhaitez reprendre, a moins que ce dernier n'existe plus.
Attention ! Ce n'est pas parce que ce dernier a eu une bonne critique que le votre sera équivalent, et vice versa. De plus il serait préférable de garder le même réalisateur et acteurs pour une suite ou un prequel et le budget doit être equivalent à ce dernier ou plus élevé si vous ne voulez pas que votre reprise de ce dernier soit raté.
[N'étant pas l'Administrateur de ce jeu, il est possible que ces règles soient effacées ou modifiées.] | |
| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 9:07 | |
| Studio West
Pourquoi [Drame] (5ième au box office de la 1er semaine) Film de Série B, Réalisé par Michael Davis avec Casey Affleck, Elisa Cuthbert Jordan (Casey Affleck) est un jeune homme ambitieux, qui vit pleinement "l'American Dream", sa fiancée Laura (Elisa Cuthbert) est enceinte, et ils projettent même de se marier. Malheureusement pour eux, le destin en a décidé autrement. Ils se font sauvagement agressé dans leur voiture. Alors que Laura est assassinée sous ses yeux, Jordan lui se fait assommé , et est laisser pour mort. S'en suis une longue rééducation, ou Jordan, qui a été plongé longtemps dans le coma, doit réapprendre a marcher, mais aussi réapprendre a vivre. Malgré les efforts de ses amis, de sa famille, Jordan ne semble pas vouloir se remettre, seul la nouvelle de l'arrestation du coupable, semble lui apporter une lueur d'espoir. Il décide même d'écrire à cette personne, pour comprendre pourquoi...
Jordan commence peu a peu a sombrer dans l'alcoolisme, il envoie une lettre par jour au criminel, dans l'attente d'une réponse... Il imagine le jour ou il le verra en face,imagine toutes les souffrances qu'il lui ferait endurer. C'est ce qui lui permet de rester en vie. Jusqu'au jour ou, il reçoit cette fameuse enveloppe il apprend que le meurtier s'est suicidé en cellule lit la lettre, comprend qu'il n'apprendra jamais la vérité, il se met alors a pleurer, puis hurler et se défenestre.
Notes :A partir de la sortie de coma de Jordan, (environ 15 minutes) le film devient un huis clos, ou les seuls moments ou l'on sort de son appartement sont lors de ces pensées meurtrières (tout est montré), et les autres ou il imagine sa vie sans le meurtre. Sa consommation d'alcool est importante, et la dégradation physique du personnage aussi. Chaque lettre envoyé par Jordan est lu a voix haute par l'acteur lui même. Et la dernière lettre, celle du meurtrier est lu par Laura. Clap de fin, sur le moment ou il passe la vitre. Critique:Studio West Pourquoi
Il y en avait du drame cette semaine, de qualité diverse et on peut dire que POURQUOI se classe en milieu de liste et à souffert au Box-Office à cause d’une surabondance de drame. Pourtant, le film de Michael Davis reste bien, intéressant et faut le dire, c’est un film esthétiquement réussi avec un acteur formidable dans le rôle principal qui tire un maximum du sujet. Sauf que POURQUOI va un peu trop loin dans la déprime, le drame tire son efficacité de la balance des émotions pour tirer un maximum d’efficacité d’un dénouement et le film se vautre un trop dans le patos. De plus, Michael Davis se débrouille, mais n’était pas prêt d’aborder un tel sujet, qui demande une grande maturité artistique pour avoir un résultat aussi bien que l’on le voudrait. Points accordés par la critique : 200 points
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| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 9:15 | |
| No Limit Production
Road to Comic Con[Comédie] (2ième au box office de la 1er semaine) Film de série B réalisé par Rawson Marshall Turber avec Jason Biggs et Mark Hamill Lorsque le Professeur Skyler (Mark Hamill) décide d'emmener sa classe au Comic Con de San Diego, Jessy Wallace (Jason Biggs), l'élève le plus turbulent de la classe y voit là une formidable opportunité de réaliser ses fantasmes... de bêtises les plus fous! Entre mener la vie dure aux Geeks et autres Nerdzs du Comic Con, ou encore organiser des combats entre personnes déguisées en super-héros et autres Dark Vador ou Capitaine Spock (Qui n'a jamais voulu voir s'affronter Dark Vador et Thor?...) Où le vainqueur va voir avoir la possibilité de passer une nuit avec la vrai Wonder Woman, Jessy va faire vivre un enfer non seulement à son professeur, mais à tout le Comic Con! Le Professeur Skyler essayera bien de l'arrêter... essayera.
Critique: No Limit Production Road to Comic Con
Il aura eu du succès ce ROAD TO COMIC CON en salle cette semaine. Malheureusement, le film de Rawson marshall Turber est bien moins bon qu’il voudrait bien l’être. D’abord, difficile d’acheter la prémisse avec un Jason Biggs qui est à l’école depuis maintenant 15 ans. Pourquoi un enseignant amènerait des adultes au Comic Con ? On ne le saura jamais, on y croira jamais. Plus une cacophonie de geeks qu’une comédie voulant se tenir, ROAD TO COMIC CON déçoit ceux qui veulent rire, mais aura intrigué les petits êtres maigrelets et à lunette suffisament pour s’avérer un film fort rentable. Points accordés par la critique : 100 points
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| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 9:21 | |
| Stinger [Horreur, Action] (9ième au box office de la 1er semaine) Film de série Z réalisé par Roger Corman avec Treat Williams et Lance Henriksen Brian Connor (Treat Williams) et Henry Watson (Lance Henriksen), chercheurs dans une base militaire et spécialisés dans l'étude des scorpions, travaillent sur une arme biologique basé sur le venin d'un spécimen rarissime non encore étudié. Au cours d'une expérimentation, Henry se fait accidentellement piquer par l'animal. Admis à l'infirmerie, il développe très vite une forte fièvre débilisante le poussant à tuer l'infirmier qui s'occupait de lui. La base est en état d'alerte, et Brian n'a que peu de temps pour trouver un remède pour soigner son collègue et ami... ou mettre fin à ses jours.
Note : Dûs aux précédentes expérimentations et à l'environnement chimique lors de son arrivée, le scorpion a en fait subi une mutation au niveau de son venin. La piqûre va provoquer chez Henry une mutation en un hybride d'humain et de scorpion, et la fièvre achève de peindre le danger que peut représenter la créature.
Critique: Harmore Productions Stinger
Quand une bisserie s’assume à fond, ça rend toujours le résultat plus attrayant et Roger Corman donne à son client ce qu’il veut avec STINGER, une œuvre digne de ses grandes productions. Corman donne à ses fans ce qu’ils veulent, un foutu Scorpion tueur que l’on voit abondamment et des têtes d’affiche efficaces comme Treat Williams et Lance Henriksen. STINGER n’est pas un bon film, c’est un divertissement de tâcheron, visant un faible marché, mais qui aura droit à sa reconnaissance par sa folie, son facteur fun élevé et le fait qu’il ne vient pas se foutre de la gueule de personne. Les gens ne parleront peut-être plus du tout de STINGER la semaine prochaine, mais gageons que les gens qui iront le voir auront au moins l’avantage de ne pas être décu. Points accordés par la critique : 150 points
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| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 9:25 | |
| IronWorks Studios...
Second Chance [Science-Fiction, Thriller, Action] (1er au box office de la 1er semaine) Film de série B réalisé par Peyer Hyams avec Michelle Rodriguez Coût : 150 points
Synopsis : En 2125, Rachel (Michelle Rodriguez) est morte. Elle se souvient de l'accident, de la douleur. Et pourtant, elle est là, dans son lit en pleine santé.Une seconde existence qui lui a été octroyé par l'institut Second Chance qui décide de qui doit vivre et qui doit mourir grâce à sa technologie révolutionnaire. Mais quand sa nièce dont elle a la charge est piétinée lors d'une émeute devant l'institut, l'entreprise refuse de la ressusciter. Rachel décide alors de tout faire pour la sauver, même si cela revient à prendre en otage le pdg de la firme. La jeune femme sera t'elle prête à tuer pour la vie ?
Notes créatives : - Le film a une "Happy End". - Le rôle de Rachel a été conçu pour être à la fois une femme forte et fragile.
Critique: Ironworks Studios Second Chance
Le grand gagnant au Box Office cette semaine, SECOND CHANCE joue bien avec ses forces et montre que Hyams en a encore un peu derrière la cravate. Le scénario très intéressant aura intrigué les gens, dans un film plutôt bien, divertissant et efficace. Michelle Rodriguez montre qu’elle a un bon potentiel de rentabilité en héroïne, malheureusement, il aurait été plus intéressant de mettre un antagoniste à Rodriguez, car c’est vrai qu’elle est bien jolie, mais on se lasse un peu de son omniprésence. Le film a un beau look, mais contraste un peu avec la réalisation de Guerrilla de Hyams, qui néanmoins se débrouille avec succès. Pour le reste, Ironworks Studio a bien travaillé son film et lui a donné tous les éléments pour réussir. Points accordés par la critique : 200 points
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| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 9:32 | |
| The Alpha Female [Comédie] (6ième au box office de la 1er semaine) Film de série B réalisé par Karyn Kusama avec Josh Duhamel et Evan Rachel Wood ... Et Ainsi Adam croqua dans la pomme, et Adam et Eve furent interdit d'Eden, Voilà l'Histoire racontait par la Bible. Mais si c'était Adam qui avait tenté Eve de croquer dans la Pomme voilà où en serait notre Humanité : Alors que tout les exploits Humains ont étés accomplis par des Femmes (Premier pas sur la Lune, Découverte de l'Amérique ou encore le Droit de vote exclusivement aux Femmes). En 2012, Lara (Evan Rachel Wood) vient de se marier à Ryan (Josh Duhamel) sans l'accord de ce dernier, Lara traite son Homme comme le font les autres Femmes de son époque (Machisme Féminin, Moqueries en rapport à son Sexe dans les deux sens bien entendus) . Mais Ryan et les autres Hommes n'en peuvent plus d'être traités comme des Espèces qui servent uniquement à la reproduction ou au Ménage. The Alpha Female raconte avec Humour "la Révolution Masculine". Ryan arrivera-t-il à faire changer les Idées féminines de son époque ? Ici Deux Clans se feront face d'un côté les Femmes qui souhaitent garder les Droits uniquement pour elles et d'un autre côté les Hommes qui cherchent l’Égalité !
Critique: Moon Studios The Alpha Female
Probablement le meilleur film de la semaine, THE ALPHA FEMALE est un projet taillé sur pièce pour Karyn Kusama qui se retrouve dans son élément et touche avec une légèreté bien cynique le thème du sexisme avec un scénario intelligent. Le manque de pub aura joué au Box Office pour ce film, les gens voulant rire aillant préférés le film des productions No Limits. Pourtant, THE ALPHA FEMALE est une impressionnante réussite, qui a le potentiel de divertir autant les hommes que les femmes, par l’intelligence de son propos et par son habile jeu de renversement de situation. Kathryn Kusama signe un film du niveau de son JUNO, mais qui comme son JENNIFER’S BODY cherche encore son public. Points accordés par la critique : 300 points
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| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 9:37 | |
| KANNON FILMS FIRST FLOOR, DOOR 2 [Drame] (3ième au box office de la 1er semaine) Film de série B réalisé par Paul McGuigan avec Edward Burns, Michael Biehn et Ian Holm Générique: Un radio réveil se déclenche à 7h30 avec Wonderful Life de Black. Tom Reiner (Edward Burns) se réveille. Il se douche, met un costume, déjeune, prépare sa mallette dans laquelle il glisse une enveloppe ouverte et un flingue. Il prend sa voiture et se rend à un immeuble de bureaux. Il monte au premier étage, ouvre la porte 2 "Andersen & Berdig, Advertising & Consulting". Il se rend dans l'open-space où se tient un briefing, pose l'enveloppe sur le bureau où se trouve ses deux patrons puis en abat un froidement d'une balle dans la tête. Fin du générique. Tom Reiner tient maintenant en otage une dizaine de personne dont Trevor Berdig (Ian Holm), son deuxième patron. En fait, la lettre qu'il a posé sur le bureau est une lettre de licenciement, signé par Paul Andersen qu'il vient d'assassiner, reçu quelques jours auparavant et qui a motivé son geste. Alors qu'à l'extérieur la police se met en place sous les ordres Jim Callagher (Michael Biehn), à l'intérieur un échange se met en place entre Tom, son ancien patron et ses anciens collègues. Les rancoeurs, les jalousies, les stratégies sont mises à nu et chacun va devoir se découvrir, dépeignant un monde du travail et de l'entreprise où tout est loin d'être rose. Le tout est entrecoupé de tentative de négociations de Callagher qui espère un dénouement pacifique. Tom finit par libérer ses otages, y compris Berdig, et attend la police dans le bureau. Quand ils arrivent le chercher, il mime un geste agressif et se fait descendre par Gallagher.
Critique: Kannon films First Floor, Door 2
Le drame d’otage est un genre très intéressant, qui a toujours relativement de succès, malheureusement pour le film de la Kannon, le film d’otage de Ironworks était plus grand public et les comparaisons ont été assassines, pour de mauvaises raisons. FIRST FLOOR DOOR 2 est un très bon drame dans l’océan de drame de cette semaine, probablement un de ceux de meilleur qualité et celui qui a le chose à dire. Le point critique sur le milieu de l’entreprise n’est peut-être rendue avec le plus d’habileté, mais le message passe et passe bien et Paul McGuigan fait un autre bon film, bien mis en boîte, avec un beau look. Qu’on oubliera peut-être rapidement après cette semaine, mais la Kannon a fait un effort pour offrir un bon film avec un cast solide. Points accordés par la critique : 250 points
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| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 9:56 | |
| CN PRODUCTION
WELCOME TO THE JUNGLE [Action] (4ième au box office de la 1er semaine) Film de série Z rféalisé par Len Wiseman avec Casper Van Dien, Donnie Walhberg, Chuck Norris, Dolph Lundgren, Kelly Overton, Michael Ironside et Bill Goldberg.
Les familles mafieuses O'Loughlin et Phillips se font la guerre depuis des décennies pour le contrôle des marchés de la drogue, des armes et des prostitués qu'ils entreprennent dans tout l'Etat. En 2010, les parrains historiques des 2 familles, Jack O'Loughlin (Michael Ironside), qui vit dans l'opulence et le luxe, et Joseph Phillips (Chuck Norris), grand fan d'arme à feu et tueur sans scrupules, vont devoir laisser leurs place à leurs fils réspectifs, James Ryan O'Loughlin (Donnie Walhberg), qui rêve de succeder à son père avec le côté psychopathe en plus, et Damien Phillips (Casper Van Dien), qui, après s'être engager dans l'armée, va reprendre "l'affaire de famille" un peu à contre coeur. Ce dernier est marié avec Jessie Roberts (Kelly Overton), qui tente tant bien que mal de dissuader son mari de devenir un mafieu. Chacunes des familles a un lieutenant, Paddy O'Ryan (Bill Goldberg) pour les Irlandais, et Karl Friedrich (Dolph Lundgren) pour les Phillips, qui aspirent aussi secretement à prendre la succession des parrains.
Avec la succession prochaine à la tête des 2 familles, la guerre reprend de plus belle. Entre tentatives d'assasinats, attentats, meurtres de proches, fusillades tout y passe... Le tout sous fond de corruption, et de trahison des membres des familles.
Au final, Jack O'Loughlin se fait tuer par l'homme de main de la famille rivale en se faisant kidnapper puis tronçonner par ce dernier. Son fils prend alors sa succession et tue de ses propres mains Joseph Phillips pour se venger. Il demande en même temps à son lieutenant Paddy O'Ryan, de faire descendre Damien Phillips et sa femme. Alors que sa femme se fait tuer presque sous yeux, Damien réussit à s'échapper et tue le meurtrier de sa femme. En même temps, il tue son propre lieutenant, qui essayait de l'empoisonner pour prendre sa place. S'en suit finalement un duel épique entre les deux fils, qui se termine par la mort de l'Irlandais poignarder près de 50 fois par son rival. Ce dernier finit par se faire arrêter par la police pour les crimes qu'il a commit en peu de temps. Les deux empires du crimes n'existe plus. La dernière scène du film montre Damien Phillips sur la chaise électrique prêt à se faire executer.
Critique: CN productions Welcome to the Jungle
Bénéficiant d’une campagne publicitaire monstrueuse, WELCOME TO THE JUNGLE donne un film d’action assez déglingué, parfois efficace, mais généralement faible. Len Wiseman, habitué aux grosses productions, se retrouve avec un film au budget de merde et n’a même pas le loisir de jouer des effets spéciaux, puisque la production n’y a placé aucun intérêt. Le casting est impressionnant et définitivement l’aspect le plus intéressant du film, sauf que c’est un potentiel un peu laissé de côté par les autres défauts de la production. WELCOME TO THE JUNGLE manque de jugement et s’avère un film d’action brouillon, au scénario pas mauvais, mais masqué par un problème de dépense. Points accordés par la critique : 100 points
Dernière édition par Lust le Sam 25 Aoû - 10:07, édité 1 fois | |
| | | Lust
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| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 10:01 | |
| DOP Studio
L'arrache-Coeur [Drame] (10ième au box office de la 1er semaine) Film de série B réalisé par Richard Kelly avec Dexter Flectcher et Sarah Wayne Callis
1955 en France. Jeune psychiatre prodigieux et reconnu dans tout Lyon, Jacquemort s'ennuie de ses séances quotidiennes où il a l'impression de voir toujours les mêmes personnes, les mêmes pathologies, les mêmes problèmes.
En quête d'évasion spirituelle et d'exploration plus personnelle des comportements humains, Jacquemort décide de fermer son cabinet pour quelques mois et de partir à l'aventure.
L'aventure pour Jacquemort, c'est marcher, observer, écouter, rencontrer, analyser. Jacquemort est un amoureux de la vie dans ce qu'elle a de naturel, d'authentique.
Après quelques jours de vagabondage et de fascination des beaux paysages croisés, Jacquemort arrive dans un joli village qui attire son attention par les pratiques étranges qui y sont faites (cette "Foire aux vieux", par exemple !), et l'atmosphère spéciale qui y règne, une fausse tranquillité, inquiétante et fascinante à la fois.
Jacquemort rencontre alors Clémentine, enceinte de trois enfants, et Angel, son compagnon. Il leur expose son projet actuel, et notamment qu'il compte bien étudier son village. Celle ci accepte alors de l'héberger pour quelques temps.
Jacquemort n'imagine pas encore ce qui l'attend dans ce foyer, et dans ce village, bien souvent aux frontières entre la réalité et le fictif, où les moeurs sont bien légères, où les non-dits ont bien des raisons de l'être..
Le film est une adaptation libre du roman de Vian. S'il veut transmettre au spectateur l'esprit du roman, Kelly s'en éloigne sur certains aspects.
Par exemple, le personnage de Jacquemort a été largement modifié au goût de Kelly, notamment physiquement. Pas de narrateur, on se contente de le suivre et d'observer à ses côtés les choses étranges qui se déroulent sous ses yeux.
Clémentine, qui va mettre au monde 3 enfants, est presque une deuxième actrice principale : Son obsession psychologique sur la protection de ses enfants est largement traitée, avec une touche plus dramatique que dans le livre, puisque près avoir déraciner les arbres, et après leur avoir construit des cages, elle n'est toujours pas rassurée... Et dans son obsession, elle finit par se suicider à la fin du film.
Fin paradoxale, cette mère qui voulait absolument protéger ses enfants du mal extérieur, et être à leurs côtés le plus longtemps possible, a fini par être tellement obsédée par cette peur (qui n'a fait que grandir en même temps que les enfants grandissaient de leur côté) qu'elle n'a l'a pas supporté et laisse finalement ses enfants orphelins.
Angel a un rôle semblable à celui du livre. Il est ce père et mari attentionné, victime de l'obsession de sa femme et contraint de quitter le domicile familial.
Jacquemort sera spectateur privilégié de ce quotidien, et ses journées s'alterneront entre la maison de Clémentine, les promenades dans le village (avec tout ce qui s'y passe dans le livre : reproduction plutôt fidèle), et des ballades apaisantes en dehors du village.
La plupart des passages clés du livre, comme les délires surnaturels des enfants, ou le personnage de La Gloire, sont tout de même fidèlement reproduits.
Critique: DOP Studio L’Arrache-cœur
DOP Studio devait s’attendre à ce que la complexité de son ARRACHE-CŒUR et son faible potentiel marketing allaient lui donner un rendement monétaire bas. Ceci étant dit, le filmd e Richard Kelly possède des qualités étonnantes et s’avère un film d’auteur solide, une adaptation pertinente et en général un bon drame. Kelly a le bon ton quand vient le temps de mélanger le reél et le fantastique et s’avère carrément le meilleur choix pour une telle production. Si le film est un peu fastidieux, un peu trop long et qu’il fera fuir bien des gens par son sérieux, L’ARRACHE-CŒUR reste le meilleur drame de la semaine et s’avère un tour de force pour un si petit budget. Points accordés par la critique : 300 points | |
| | | Lust
Messages : 40 Date d'inscription : 27/07/2012
| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 10:13 | |
| Studio MK6
Lost night [Drame, Thriller] (7ième au box office de la 1er semaine) Film de série B réalisé par Michael J. Bassett avec Michael Madsen, David Boreanaz, Julie Benz et Elise Avellan Alan Bishop (Michael Madsen) est un père divorcé de 45 ans, Commissaire de police dans la ville de Philadelphie. Après une carrière honorable, Alan prendra sa retraite dans quelques jours. Sa carrière ayant détruit sa vie de famille, il profite de son futur départ pour renouer les liens avec sa fille Katy (Elisa Cuthbert), âgée de 25 ans. Alors qu’il l’invite au restaurant samedi soir, celle-ci refuse froidement. Déprimé, Alan part se réfugier dans un bar où il abusera de la boisson, malgré son sens aigu de l’éthique de flic. Tout ceci n’aurait pu être qu’une vulgaire cuite. Alan se réveille chez lui. Dimanche matin. Une grosse migraine et des souvenirs très flous. Situation qui pourrait être habituelle. Hormis ses vêtements tâchés de sang, son arme de service qui semble avoir servi. Quelques heures plus tard, le vieux flic reçoit un appel « Alan Bishop, vous devriez vraiment vous souvenir». C’est le début d’une course contre la montre pour Alan qui a moins de 48h, avant sa retraite lundi soir, pour découvrir ce qui est arrivé cette nuit … Après ce premier coup de fil, Alan s’aperçoit qu’il ne retrouve plus son portefeuille, ce qui explique comment le mystérieux appelant connaît son identité. Il va utiliser tout ce qui est à sa disposition en tant que Commissaire pour retrouver cette personne. Il ment à son service qui lui fait aveuglement confiance. Alan essaye d’obtenir de l’aide de son fidèle ami, le Lieutenant Mike Smith, qui est malheureusement occupé par une affaire de meurtre. Il enquête dans différents coins de Philadelphie pour retracer son parcours, tout en étant fréquemment interrompu par les fameux appels. Alan décide de voir son ex-femme Judith (Julie Benz) pour s’assurer que sa famille soit en sécurité. L’ancien couple se dispute une fois de plus. Judith lui reprochant ses tentatives hypocrites de renouer les liens alors qu’il ne s’intéresse même pas à sa fille et elle, trop préoccupé par sa carrière. Il apprend par la même occasion que sa fille est sur le point de se fiancer et qu’elle a donc fêté cette nouvelle avec ses amis au restaurant Matthew’s. Judith éclate alors en sanglot, en avouant qu’elle a terriblement souffert de cette longue carrière de 20 ans qui la forçait à rester seule. Elle en veut à son ex-mari car tout ceci l’a poussé la pauvre femme à faire des erreurs qui la dégoûtent elle-même … Alan culpabilise en réalisant qu’il s’est beaucoup trop éloigné d’elle. Un nouvel appel mystérieux lui fait reprendre ses esprits. Il se remet enquêter et se rapproche du but. Un membre de son service de police le contacte pour lui annoncer qu’ils ont localisé les appels. Ils sont émis à partir de la même cabine téléphonique depuis ce matin. Il décide donc de faire une planque à proximité. Avec sa migraine, Alan s’endort malheureusement … Il est réveillé lorsque son téléphone sonne. C’est en fait son ami le Lieutenant Smith qui lui demande de le rejoindre à une localisation qu’Alan n’a pas le temps d’entendre. Il reçoit un double-appel au même moment et décroche immédiatement. Il entend la voix de l’inconnu et le fait parler le plus longtemps possible pour repérer la fameuse cabine. Il roule lentement dans la rue bordée d’une dizaine de cabines qu’il distingue difficilement dans la nuit. Il finit par trouver un sans-abri à une cabine. Alan l’interpelle, le téléphone à l’oreille. Soudain, le sans-abri ne parle plus et l’on entend uniquement le silence à travers le téléphone. Il se retourne et s’enfuit lorsqu’il voit le visage d’Alan. Une course-poursuite s’engage alors. Le sans-abri s’arrête soudainement. Il annonce à Alan qu’il est arrivé, que tout s’est passé ici tout en montrant des traces de sang sur le bitume. Il lui rappelle ce couple avec cette fille qu’il semblait connaître et qui essayait de calmer Alan alors qu’il était complètement ivre. Un flashback commence. Après sa soirée au bar, Alan entame une marche. Il parle tout seul dans la rue et arrive finalement devant le Matthew’s. Kathy et son fiancé sortent alors du restaurant. Une dispute éclate. Le vieux flic est furieux de voir sa fille avec un garçon qu’il ne connaît même pas, qu’il n’a pas approuvé. Kathy lui reproche son dévouement à sa carrière alors qu’elle avait besoin de son père. Il essaye de se battre avec le fiancé qui se débat. Un coup de feu éclate. Le sans-abri qui regardait au loin se cache. Le fiancé tombe à terre et Kathy crie au secours. Alan ne réalise toujours pas. Il est confus, essaye de parler. Puis il crie « Tu étais ma famille ! Tu m’as trahi ! » Avant de lui tirer plusieurs fois dessus. Il titube, tombe par terre en faisant tomber son portefeuille, puis se relève avant de s’enfuir en courant. Le flashback s’arrête. Alan pleure. Le sans-abri s’approche de lui mais Alan l’attrape et l’étrangle. Il le blâme, c’est par sa faute qu’il se souvient de tout ça. Alors que le sans-abri tombe par terre, sans vie, la voix de Mike se fait entendre. Le Lieutenant s’approche d’Alan. Les corps qu’il a découverts aujourd’hui étaient en fait ceux de Kathy et son fiancé. En analysant les balles, il a reconnu l’arme d’Alan. Mike ne voulait pas y croire … Il lui demande ce qu’il s’est passé. Alan répond qu’il pensait au moins avoir réussi sa carrière de flic. Mike dit que c’est pourtant bien sa vie de famille qu’il n’a pas réussi. Il se demande s’il sait combien il fait souffrir Judith. Il se demande comment un si bon flic n’a pas compris qui était avec elle toutes ses nuits où Alan allait jusqu’à dormir au commissariat plutôt que chez lui. Alan alors comprend que Judith le trompait avec Mike. Il a un flashback de Judith qui lui disait plutôt « Tu ne sais pas ce que j’ai fait, je me dégoûte moi-même … ». Son ami lui demande de tout arrêter car il n’est plus un flic mais un meurtrier. L’écran devient noir. Deux coups de feu bien espacés se font entendre. On aperçoit le bureau d’Alan au Commissariat. La télévision est allumée et on peut voir une journaliste qui informe que le corps d’un sans-abri a été retrouvé dans les poubelles, lorsque la télévision est coupée. On voit un bras saisir un verre de whisky puis le reposer sur le bureau, vide. Alan sort alors du bureau sous les applaudissements de son service qui lui souhaitent de profiter de sa retraite. L’ancien flic conduit alors sa voiture pendant la nuit. La dernière scène montre Alan qui s’apprête à rentrer dans le fameux bar. Le néon de l’enseigne s’allume et on peut lire «Lost Night ». Critique:Studio MK6 Lost Night Quand le drame domine, la pub est un facteur déterminant dans la réussite d’un film et LOST NIGHT, qui n’est pas du tout un navet a souffert d’un certain manque de flair. Le film de Michael J. Bassett est bon, rythmé et intéressant, mais ne se démarque pas vraiment des autres drames qui sont en liste cette semaine, ce qui fait qu’il fait un peu basse figure, malgré le fait qu’il soit généralement bon, mais seulement bon. L’histoire est un peu tordu, bien, mais carrément déprimante et c’est un défaut de plusieurs drames presque suicidaires auquel on a droit cette semaine. LOST NIGHT se débrouille, avec un certain brio et c’est encore la preuve que Michael J. Bassett est un bon réalisateur et que Michael Madsen en a encore derrière la cravate. Points accordés par la critique : 200 points | |
| | | Lust
Messages : 40 Date d'inscription : 27/07/2012
| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 10:35 | |
| KANNON FILMS
GANGSTAS Vs SPIDAS [Comédie, Action, Humour] (Prix du Public au Festival Fear Fest à Chicago) Film de série B réalisé par Ronnie Yu avec Ving Rhames, Stephen Dorff, Randy Couture, Dany Trejo, Donnie Yen et Adam Goldberg
Synopsis : Le film commence par le journal de bord d'un savant qui explique que ses expérimentations ont portées leurs fruits et que bientôt l'armée sera remplacé par ses créations. Pendant qu'il explique cela, une alarme se déclenche. Il se retourne inquiet, se lève, se fait attaquer par quelque chose d'invisible puis disparait de l'image en hurlant.
L'histoire débute avec six gangsters, Lefty, Teddy Bear, Lobo, Arthur et Big Mac, menés par Shaka (Ving Rhames) qui entrent dans un vieux batiment désaffecté. Ils viennent de braquer deux fourgons blindés à la suite et ont repérés cet endroit comme leur planque le temps que les choses se calment dehors. Si ils commencent à savourer leur succés et se disputer au sujet du partage, ils se rendent rapidement compte qu'ils ne sont pas seuls dans l'entrepôt et rapidement Lefty, le bras droit de Shaka se fait bouffer par des araignées devant ses camarades. Les truands n'ont plus qu'une option, sortir de là. Plus ils avancent, plus ils se rendent compte qu'ils n'ont pas à faire à des araignées normales mais plutôt à une vraie armée, avec ses corps et ses aptitudes différentes.
La suite est une succession de bagarres contre les araignées et de tentatives de s'enfuir. Une bonne partie du cast se fait dévorer. Le climax est un combat opposant Lobo et Shaka, les seuls survivants, à The M.O.T.A (The Mother Of Them All), la mère de toutes les autres araignées, un monstre de plus de deux mètres cinquante de haut, capable de donner naissance à des millions de "soldats" pendant la bagarre. Shaka finira par se sacrifier en faisant exploser la M.O.T.A de l'intèrieur. Lobo quitte seul l'entrepôt avec tout le fric. Une minuscule version de la M.O.T.A s'échappe de sa poche.
Critique: Kannon Films Gangstas vs Spidas
En sortant de la salle de cinéma du festival, un des juges semblait outré que le film de la Kannon Films soit une comédie ‘’ Ce n’est pas Fantasia ici ! ‘’. Si la fermeture d’esprit des puristes a probablement fermé les chances du film de se tailler une place dans la liste des vainqueurs du jury, tout le monde dans la salle dont yours truly se sont amusés comme des petits fous. Ronny Yu qui a un talent, signe une comédie horrifique très efficaces, bien amusantes et clairement fait avec un bon souci. Expérience geek complètement hypnotisante, on écoute ça jusqu’à la fin et on rigole et on embarque, aussi léger le projet peut-il être. Un film efficace, limité par sa connerie, mais clairement en liste pour satisfaire les fans. Points accordés par la critique : 250 points | |
| | | Lust
Messages : 40 Date d'inscription : 27/07/2012
| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 10:42 | |
| IronWorks Studios...
Nightmare's Onslaught (Horreur) Film de série B réalisé par James Wan avec Timothy Olyphant et Sarah Michelle Gellar
Synopsis : Il existe de l'autre côté du voile de la réalité une quantité de démons chargés de corrompre les humains à chaque moment de leur existence. Sephet (Timothy Oliphant) est l'un d'eux. S'infiltrant dans les songes et les transformant en cauchemars horribles, il brise les esprits et pervertis les perceptions. Mais depuis quelques temps, Sephet n'a plus la même emprise sur les mortels. La faute à Lydie (Sarah Michelle Gellar), une exorciste qui appaise les dormeurs et les aide à passer des nuits sereines. Malheureusement pour elle, elle finira bien par s'endormir à son tour et Sephet compte bien se venger en faisant de sa nuit...un véritable CAUCHEMAR !!!
Notes créatives : - La peur est majoritairement suggérée. On recherche l'intensité et l'angoisse permanente. - Des personnages secondaires sont amenés à intervenir dans le rêve. - La conclusion du film livre une Lydie totalement dévastée mentalement par ce qu'elle a vécu dans son sommeil.
Critique: Iron Works Studios Nightmare’s Onslaught
C’est un peu comme Nightmare on Elm Street, sauf que ça se prend au sérieux et c’est un peu moins original. Voilà une critique brève, mais qui touche un peu le cœur du film de James Wan, bien torché de bout en bout, habilement fait, mais qui donne un petit goût amer quand même. Il faut quand même rendre à César ce qui revient à César, NIGHTMARE ONSLAUGHT fait admirablement bien le boulot et marque peut-être le retour en force de Sarah Michelle Gellar dans le cinéma mainstream. Les effets spéciaux sont quand même de qualité et les rebondissements scénaristiques intéressants. Un bon film. Points accordés par la critique : 200 points | |
| | | Lust
Messages : 40 Date d'inscription : 27/07/2012
| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 10:47 | |
| DOP Studio
Fear & Money.[Horreur] Film de série B réalisé par Alexandre Aja avec John Lequizamo et Jared Leto En 2020, la télé-réalité traditionnelle est en déclin, et le jeune public est en manque de programmes divertissants à suivre. La plupart des programmes sur des jeunes dans un loft, ou en exploration dans la jungle, ont largement fait leur temps et sont bien souvent arrêtés avant leur terme, faute d'audience.
C'est alors qu'est proposé "Fear & Money", un jeu extrême basé sur la peur où beaucoup d'argent peut être remporté.
Le principe est le suivant : 1 candidat est placé dans un univers totalement artificiel, dans une fausse maison dans un faux village, avec des rues, des magasins.. où tout est en apparence calme. Il doit y survivre le plus longtemps possible, jusqu'à abandon.
Ce faux village est en fait un grand studio, muni de partout de caméras, permettant à tous de suivre l'épopée du candidat, et notamment des 4 animateurs.
Les animateurs sont des personnes qui se sont portées volontaires pour organiser le séjour du candidat, et qui ont été élues selon leurs idées.
Chacun d'entre eux soumet chaque jour une proposition visant à attiser la peur du candidat (par exemple le faire suivre par un individu louche, faire des bruits étranges pendant qu'il dort...), et le public vote chaque jour par SMS pour l'animateur qui a le plus fait peur au candidat, et cela donne un classement quotidien, par lequel les animateurs sont payés proportionnellement à leurs résultats.
Les animateurs ont d'importants droits sur la direction de l'émission. Ils dirigent ensemble les opérations, ils sont seulement sous la direction du producteur.
Derrière le studio se trouve toute l'équipe de la chaîne de télévision, mais aussi un plateau où les spectateurs viennent chaque soir assister à la quotidienne.
De son côté, le candidat gagne de l'argent pour chaque jour passé dans ce studio. Il occupe ses journées comme il le souhaite, peut marcher seul dans les fausses rues, rester dans sa fausse maison etc... Plus le temps passe, plus les moyens pour faire peur augmente, mais plus la somme remportée chaque jour augmente.
Donc plus le candidat maîtrise sa peur, et tient le coup longtemps, plus il gagne de l'argent !
Mais la peur, même artificielle, peut-elle toujours être gardée sous contrôle ?
Au début du film, on voit quelques participants tenter leur chance et arrêter quand la peur commence à devenir insupportable. Ils gagnent la somme proportionnelle qu'ils méritent. Le jeu se déroule alors plutôt bien.
Arrive ensuite un certain "Billy Mitchell", soit-disant "citoyen américain cadre dans la téléphonie", qui est en fait un dangereux et très intelligent psychopathe mexicain... Mais personne ne le sait au moment où l'émission commence. Personne ne sait non plus que Fred, un des 4 animateurs, qui a pouvoir sur toutes les commandes du studio, est un de ses amis, et qu'ils comptent bien tous les deux inverser le sens de la peur...
Une coupure de courant un soir... Les portes du faux village s'ouvrent... Mais toutes les autres du studio se ferment... Les caméras restent allumées.. afin de permettre à tous d'observer le carnage que les deux terrifiants personnages s'apprêtent à perpétrer...
Critique: Dop Studios Fear & Money
Pas vilain, mais vraiment pas parfait ce FEAR & MONEY qui rentre dans le lard avec un Aja en forme, mais avec une production très très douteuse. Faut dire qu’ils sont bien bon Leto et Leguizamo, mais comment être intéressé à un film quand les deux personnages sont deux foutus tueurs sadiques qui trucident sauvagement des gens tout le long du film. Il faut un bon dans une histoire semblable, ben on en a pas, et ça a beau être habilement fait, ça devient rapidement lourd. C’est bien beau, c’est bien trash, mais c’est une erreur majeur qui joue énormément sur l’expérience. Dommage donc, mais le concept reste accrocheur. Points accordés par la critique : 150 points | |
| | | Lust
Messages : 40 Date d'inscription : 27/07/2012
| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 10:51 | |
| The Ouroboros [Horreur, Thriller] Film de série B réalisé par David Slade avec Ed Harris et Adam West Jack est Flic depuis plus de vingt ans, il reçoit une enquête sur un meurtrier qui tue ses victimes petit à petit, ll donne une petit énigme à la victime avant de lui ôter un de ses membres et de lui faire manger par la suite pour qu'ils survivent. Mais ce meurtrier n'est nul autre que Jack lui même ! Ainsi Jack doit enquêter sur ses propres meurtres. Mais après une année entière à " Enquêter " sur lui-même, son patron Brad Walkins lui annonce un nouveau crime du tueur qu'on surnomme à présent : Cutter. Jack va sur le lieu du crime comme toujours, cependant il n'a jamais tué quelqu'un à cet endroit et cela l'intrigue. Il vérifie ce qui reste du corps (Le buste) et remarque que la marque qu'il fait toujours lors de ses crimes est présente: un Ouroboros, le serpent mangeant sa propre queue signifiant ici l'auto-cannibalisme, placé sur le front de la victime. Vu la durée de l'enquête et la médiatisation de cette dernière, Jack est tout de même troubler de savoir que des gens sont prêt à tuer pour voir son chef d’œuvre à la télévision. C'est à cet instant que Jack débute enfin "l'enquête" d'une façon des plus sadiques, en répondant au Nouveau Cutter avec de nouveaux crimes mais de plus en plus sanglant (avec entre autres une Hécatombe Cannibale). La Folie gagne Jack...
Lors de la dernière scène, Son patron apprend avec stupéfaction que Jack est Cutter mais Jack arrive à capturer son propre patron, Jack félicite son patron d'avoir élucider l'énigme mais qu'une autre partie de l'énigme est encore à élucider, Jack lui annonce qu'il n'est pas le seul à avoir tuer depuis ces deux longues années. Cependant le patron de Jack lui apprend que tout les test prouvent que chaque meurtre était fait de la main d'une seule et même personne, c'est ainsi qu'apparaît un flash-back où Jack se remémore qu'il a bien tué toute les victimes (Sa folie et ce dédoublement de personnalité sont dues à cette ambiguïté en étant policier enquêtant sur sa propre enquête). Jack lui offre une ultime énigme à laquelle il n'aura droit de donner qu'une seule et unique réponse:
"Vous êtes mon prisonnier. Mon bourreau vous propose un arrangement : vous devez dire une seule phrase. Si cette phrase est fausse, je vous mangerai, si cette phrase est vraie, vous vous mangerez. Quelle phrase diriez vous pour être ni manger, ni vous manger vous-même ?
Réponse: " Je vais être mangé" Elle ne peut pas être vraie parce que si vous dites une phrase vraie, vous vous mangerez, et vous dites que vous allez être mangez. Elle ne peut pas non plus être fausse parce que si vous dites une phrase fausse, vous seriez bel et bien manger mais cela voudrais dire que ce que vous avez dit est faux.
Le Patron ne trouve pas la réponse, c'est ainsi que se termine le film où l'on aperçoit Jack découpant une partie du bras droit de son Patron qu'il coupe en deux, tandis qu'il coupe le bras de son patron il lui donne la réponse. Jack pose un énorme entonnoir dans la bouche de son patron, broie une partie du bras et y met dans l'entonnoir, tandis que Jack commence à manger l'autre partie du bras de son Patron...
FIN
Critique: Moon Studios The Ouroboros
Dans les films tordus de l’année, OUROBOROS a de bonnes chances de se tailler une place. Potentiel culte intéressant et surfant sur un fil DEXTER qui heureusement semble s’effriter pendant le film, le film de David Slade est assurément solide. Bien fait en général, le seul point faible majeur est Adam West, complètement à côté de la plaque dans un rôle trop important pour un acteur dont le talent semble totalement dilué dans son regard vide et ses gestes forcés. Malgré tout, même si West est une erreur de casting évidente, on y trouve un plaisir, mais on aurait un film avec un plus beau look quand même et une meilleure atmosphère. Cependant, les décors sont biens et le film est très distrayant. Points accordés par la critique : 200 points | |
| | | Lust
Messages : 40 Date d'inscription : 27/07/2012
| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 10:57 | |
| A cry in the woods [Horreur] (Prix du Jury au Festival Fear Fest à Chicago) Film de série B réalisé par James Gunn avec Evan Rachel Wood, Josh Holloway, William L. Petersen, Ray Liotta, Polly Shannon, Sienna Guiloty, Vanessa Ferlito C'est une tradition annuelle pour ce groupe d'amoureux de la nature que de se réunir et partir en week end au coeur des forêts de l'Ontario en hiver. Elsa et Trevor Maguire (Evan Rachel Wood et Josh Holloway) sont fraîchement mariés après 6 ans de vie commune. Le père d'Elsa, John Cormin (William L. Petersen) est un vieux baroudeur, habitué aux longues randonnées sauvages dans les contrées canadiennes et conteur à ses heures perdues, adorant raconter des histoires sur les mythes amérindiens. Robert et Leslie Maguire (Ray Liotta et Polly Shannon), les parents de Trevor, ne sont pas aussi à l'aise que John, mais ils acceptent pour la première fois de partager ce moment en famille. Viennent ensuite deux amies d'Elsa, June et Brittany (Sienna Guilloty et Vanessa Ferlito), l'une est extravertie et extravagante, l'autre est plus réservée et intelligente. Tous pensaient à un week-end inoubliable. Ils ne croyaient pas si bien dire alors que, sous une rarissime pleine lune rougeâtre, une créature ancestrale s'éveille...
Ce film revisite le mythe du Wendigo, ici représentée par une créature lycantrope monstrueuse et quasi immortelle, accentuant ce côté cannibale et prédateur. Seul le feu permet de garder ses distances un court instant, mais ne sera pas une arme de dissuasion efficace pour autant.
Le titre du film est une référence au hurlement bestial de la créature, mais aussi aux pleurs d'Elsa, seule survivante de cette nuit d'horreur mais qui, sans l'aide de son père, n'arrivera pas à sortir de la forêt avant le crépuscule suivant, toujours sous une lune rougeâtre. Les secours n'arriveront pas à temps, et on voit en dernier plan Elsa seule et recroquevillée, au seuil de la folie.
La majorité du film se déroule en une seule nuit, et donne dans le 50% gore et 50% angoissant. Il peut laisser présager d'une suite.
Critique: Harmore Productions A Cry in the Wood
Parfois on aime être surprise et parfois non et dans les films d’horreur, les approaches traditionnelles sont efficaces quand le projet est rigoureux et A CRY IN THE WOOD est sans l’ombre d’un doute un de ses projets. D’accord, ça va véhicule pas de grands thèmes, c’est pas très profond, mais ça fonce, ça déchire et c’est sanglant et efficace, avec non seulement un James Gunn en plein contrôle d’un sujet simple et dans ses cordes, mais également abordé avec un casting, UN VRAI ! C’est beaucoup plus facile de s’insérer dans un film où il y a quelques personnages intéressants qui crèvent. A Cry in the Wood a rendu les fans heureux et a frappé fort au festival, un film efficace et qui donne un peu de crédit à un genre encore mal vu. Points accordés par la critique : 250 points | |
| | | Lust
Messages : 40 Date d'inscription : 27/07/2012
| Sujet: Re: Historique des Films Sam 25 Aoû - 11:04 | |
| CN PRODUCTION
THE FROZEN HOLE [Horreur, Thriller] Film de série B réalisé par John Carpenter avec Christian Slater, William Fitchner, Leighton Meester et Christopher Lee Le film s'ouvre sur une pièce completement plongée dans le noir, un homme y est assis, recroquevillé dans un coin, et parle dans un dictaphone. Il y dit que cela fait "47 jours qu'ils y sont coincés", et qu'il pense "mourir ce soir". Il raconte alors son histoire...
48 jours plus tôt, au Nord de la Suède, 2 journalistes américains, Ben Scott (William Fichtner) et Dale McKagan (Christian Slater), et une jeune anglaise en vacance, Marissa Taylor (Leighton Meester) sont les seuls clients dans une hôtel relai dont la ville la plus proche est à 50 km. L'hôtel est toujours fermé en hiver car il est completement coupé du monde lorsqu'il commence à neiger. Cepandant cette année, l'hiver est précoce et une tempête prend le vieux propriètaire, Gunnar Vennerstrom (Christopher Lee), de court. Ainsi n'ayant pris aucunes précautions, ils se retrouvent completement coincés, sans moyens de quitter les lieux, n'y d'appeller des secours...
Les premiers jours se passent plutôt bien, chacuns esperant que les secours arriveraient bientôt. Mais les jours passant, et la tempête ne desemplissant pas, les premières craintes et les premières disputes commencèrent à se faire ressentir en même temps, que les rations de nourriture et d'eau potable descendait. La paranoïa va alors doucement grandir, chacuns voulant garder le maximum de nourriture pour soi. Après 20 jours et une énième dispute, cette fois-ci plus violente, Dale McKaggan va tuer le propriètaire de l'hôtel, lui reprochant le fait d'être coincé ici. Après ce meurtre, les 3 restants ne s'adressent même plus la parole, restant chacuns dans son coins.
Cepandant 10 jours après, à cours de nourriture, Dale propose, que s'ils voulaient survivre, ils n'avaient qu'a manger les restes glacés de Gunnar, le propriétaires. Bien que dans un premier temps, les 2 autres s'y refuse, ils finissent par accepter pour rester en vie... Cepandant cet acte, plus le meurtre du proprétaire va rendre fou, Dale McKaggan, qui va projeter de tuer ces 2 autres compagnons pour pouvoir continuer à survivre...
Ainsi la nuit du 45e jour, il tue Marissa et fait ensuiture croire à Ben, qui n'a rien vu, qu'elle a décidée de partir à pied pour ralier la ville la plus proche et ainsi tenter sa chance. Cepandant Ben a de serieux doutes et finit par découvrir le corps de Marissa, poignardée par Dale. Les deux hommes finissent alors par se battre. Ben réussit finalement à tuer Dale en l'immolant, mais s'est aussi fait grièvement blesser durant le combat. Il va alors s'asseoir dans un coin, prend son dictaphone et commence à raconter son histoire...
La scène finale du film se déroule, 12 jours plus tard, lorsque les secours réussissent enfin à arriver sur les lieux de l'hôtel et y découvrent avec horreur les 4 cadavres, dont l'un a été à moitié manger, et se demandant ce qui a bien pu arriver...
Critique: CN Productions The Frozen hole
C’est qu’il est très intéressant ce film, jouant sur la paranoïa, un thème que Carpenter avait exploré avec énormément de succès avec THE THING. ON se rend rapidement compte que Carpenter a tenté de faire son SHINING, évidemment beaucoup moins efficace. Sauf que le film de Carpenter passe bien, très bien même et a fait embarquer pas mal de spectateurs dans l’entreprise, mais l’aspect horreur reste cependant, sans vouloir faire de mauvais jeux de mots, est un peu difficile à bouffer. Excellent thriller oui, film d’horreur mmmhhh, pas tellement non et quand on tente d’aller trop loin, le film est tout de suite moins convaincant. On aurait peut-être aimé un petit élément surnaturel pour justifier un peu mieux la folie de la chose. Cependant, un casting solide, une réalisation intéressante. Points accordés par la critique : 200 points
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